Bien que beaucoup de gens pensent que Mars est notre prochain arrêt, puisqu'elle est à bien des égards l'image miroir de la Terre, la NASA joue depuis un certain temps avec l'idée de la vie sur Vénus, également appelée la jumelle maléfique de la Terre. Ils ont notamment développé le concept d’une ville flottante qui grandirait dans son atmosphère et permettrait une installation permanente. Le projet s'appelle HAVOC.
Terre et Mars ils sont assez similaires. Ils ont composition similaire de l'atmosphère, qui sont les plus proches du système solaire, et il est vrai que Mars est relativement froide (-63 degrés), et est la probabilité d'existence de l'eau une plante si forte qu'elle réchauffe assidûment l'espoir qu'un jour nous pourrons vivre sur Mars. En plus, une journée sur Mars est presque longue 25 heures, ce qui signifie que notre biorythme il se synchronise même plus facilement sur ce rythme qu'avec celui de la Terre, puisque notre période interne est exactement d'environ 25 heures. Mais pourquoi aller si loin alors que notre voisin le plus proche est tout autant, sinon plus, chez lui ? À Vénus à savoir, à cette Terre jumelle. Mal? Une question de point de vue. Ils sont semblables dans taille, masse, densité, gravité et composition. Alors pourquoi ne pas monter à bord de la première navette spatiale et aller là-bas au lieu de Mars ?
Probablement parce que c'est l'enfer là-bas. C'est la planète la plus chaude du système solaire, où la température est 465 degrés Celsius, ce qui suffit à faire fondre le métal. De plus, il contient des nuages denses de gaz toxiques chauds et, par conséquent, une atmosphère dense dont la pression est pour 90 de nos ambiances. La surface de Vénus n’est donc plus au menu. C'est pourquoi l'atmosphère même de l'endroit où il envisage de déménager est plus hospitalière Centre de recherche de Langley (NASA).
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Le programme de « colonisation » s'appelle RAVAGE ( Concept opérationnel de Vénus à haute altitude ) et cela devrait y être envoyé dans la phase initiale des robots, afin de passer les premiers tests. Celles-ci seraient suivies d'une expédition humaine qui, dans un premier temps, 30 jours rester en orbite, puis un voyage dans l'atmosphère suivra.
La prochaine phase serait pour un an amener les gens ordinaires ici et les installer dans une ville flottante, qu'ils sont censés représenter avion rempli d'hélium et recouvert de panneaux solaires (il y a beaucoup plus de soleil ici que sur Mars, fond radiation et le même qu'au Canada). Les Zeppelins sont censés être longs 129 mètres, tandis que ceux des robots qui partiront en reconnaissance ne mesureraient que 31 mètres de long.
Chaque ballon sera doté d'un "déroulable" spécial cabine, ce qui est censé être ce qu'est une voiture sur Terre et est censé permettre voyages interplanétaires. La ville devrait flotter 50 kilomètres au-dessus de la surface, où la pression atmosphérique est la même que celle de la Terre et la température de l'air est « confortable » 75 degrés. Et même si pour l’instant tout n’est que sur papier, dont nous savons qu’il peut résister à tout, c’est certainement une idée intéressante.
Plus d'information:
sacd.larc.nasa.gov