Grâce à ses nombreuses scénographies, chorégraphies, pièces de théâtre, etc., Jan Fabre a rejoint les artistes les plus reconnus du moment, mais il a également noué de bons contacts avec des producteurs slovènes. Il revient donc, cette fois avec une exposition inspirée par Jacques Mesrin, connu pour ses nombreuses évasions de prison. L'exposition montre…
Grâce à ses nombreuses scénographies, chorégraphies, pièces de théâtre, etc., Jan Fabre a rejoint les artistes les plus reconnus du moment, mais a également noué de bons contacts avec des producteurs slovènes. Il revient donc, cette fois avec une exposition inspirée par Jacques Mesrin, connu pour ses nombreuses évasions de prison. L'exposition présente des images documentaires de ses performances les plus marquantes : « L'art m'a sorti de prison », « Virgin/Warrior » et « Sanguis/Mantis ». Nous aurons l'occasion unique d'assister à une performance conjointe de Fabre et Marina Abramović, présentée au Palais de Tokyo à Paris. Vêtus des costumes d'une guêpe commune et d'un caroubier, enfermés dans une cage de verre, ils accomplissent des tâches qu'ils se sont imposées pendant quatre heures : porter une arme, respirer, se couper la main gauche, tenir leur cœur entre leurs mains, etc.