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et son monstre techno-rave de 30 livres
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Paul Chambers - EN DIRECT! (Fantastique / ÊTRE)
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Avant que Smetnjak ne parte en repos estival forcé et ne se prélasse au soleil, avec le soutien de l'Institut Kru, nous vous collectivisons le dernier vendredi de cette saison. Les adieux seront bruyants, infâmes.
Paul Chambers débute avec la dance electronica au début des années 90, sa première sortie a lieu sur Gigolo Records, où DJ Hell lui sort un morceau intitulé Cliché amer. Il y a encore beaucoup à venir avant qu'il ne prenne complètement sa retraite pendant quelques années Il neige à Moscou sur Feinwerk Records. Après cela, il passe du temps seul parmi les coffres analogiques. Entre-temps, il remet quelques démos à ses compatriotes gantois, les frères Dewaele de Soulwax/2ManyDJs : Paul fait désormais partie de la famille. Avant de décider du prochain album, il les accompagne en tournée en tant que groupe de soutien pendant encore deux ans. Ce n’est que l’année dernière qu’il a décidé qu’il était prêt à partager à nouveau son matériel. Sa deuxième première sortie Ouais, Techno!, concentré écrasant de techno big-room-mind-fuck, devient vite le mantra des dancefloors indie. Avant même que le morceau, ainsi que le remix de Soulwax, ne sorte sur Phantasy Sound, le label d'Erol Alkan, il est inlassablement vanté par les patrons, de The Chemical Brothers à Tiga et Mr. Oiza. Ouais, Techno! devient l'hymne de l'été, et de nombreux blogs musicaux le déclarent morceau dancefloor de l'année. S'en suit une rude épreuve : Paul est engagé par Boys Noize pour son premier remix officiel. Chambers n'hésite pas, sous sa poigne l'impact de Boys Noiza devient encore plus intense. Puis il se met à remixer et à baiser Goose vivant, Étienne de Crécy et Sound of Stereo et, avec Shinichi Osawa, a mis la cocotte minute en musique avec le titre Singapour Swing. Avant son prochain album solo très attendu, Paul et ses 30 kilos de synthés analogiques, de machines à rythmes et autres équipements se promènent avec des arrêts à Smetnjak. Méfiez-vous! Ce n’est pas de la musique de chambre. C'est le son des Cambers.
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