Ces 4 choses dans un mariage ou une relation doivent toujours être évitées - elles détruisent l'amour et détruisent la relation avec votre partenaire !
La recherche a identifié des comportements contre-productifs qui ont un impact négatif sur les relations et sont des prédicteurs clairs de divorce/rupture. Chaque partenariat a certains de ces comportements de temps en temps, mais leur persistance dans la relation crée des conséquences durables, façonne la façon dont les deux partenaires réagissent et détruit l'attachement et la connexion. Ce n'est pas le conflit lui-même qui prédit le succès ou l'échec d'une relation, mais la manière dont le conflit est communiqué.
Critique
Critiquer un partenaire est différent de critiquer un comportement. La critique est généralement perçue comme une attaque contre la personne, contre les valeurs fondamentales de la personne, qui ne sépare pas les qualités positives du partenaire de l'acte lui-même, qui peut être mauvais.
La différence entre appel à certains comportements et la critique est évident et se manifeste dans ce qui suit :
Plainte : « Je me suis sentie vraiment inquiète lorsque vous n'avez pas répondu à l'appel. Je pensais que l'accord était d'appeler quand nous étions en retard.
Critique : "Vous ne pensez jamais à la façon dont votre comportement affecte les autres, peu importe ce que je ressens, vous ne pensez qu'à vous-même !"
Dans le premier exemple, la phrase commence par "je", suivi d'une brève description des sentiments et d'un appel à un accord mutuel. Dans le second cas, la phrase commence par "Vous", qui critique implicitement, et l'autre partie se prépare à défendre, et le processus d'écoute active est entravé. La prévalence de la critique peut conduire au retrait du partenaire, à la peur et à l'anxiété avant d'exprimer ses pensées et ses sentiments.
Le partenaire peut se sentir rejeté, blessé, renfermé sur lui-même. L'antidote à la critique est de commencer plus doucement, d'utiliser des déclarations en « je » et d'éviter de blâmer votre partenaire. Lorsque la conversation commence par souligner ce que la personne ressent, la voie est ouverte pour exprimer ses propres besoins et s'efforcer d'y répondre. Il n'y a ni blâme, ni accusation, ni entrée dans un débat.
Mépris
En ce qui concerne le mépris, la communication se déroule de manière malveillante, le comportement envers le partenaire est irrespectueux, sarcastique, drôle, la communication non verbale telle que rouler les yeux, soupirer, etc. est souvent incluse.
Exprimer du mépris chez votre partenaire vous fait vous sentir sans valeur. Par rapport à la critique, le mépris est une attaque contre une personne en position de supériorité, avec une dévalorisation complète du partenaire. Le mépris se nourrit de pensées négatives sur le partenaire. C'est le plus grand prédicteur de divorce.
C'est l'antidote au mépris construire une culture du respect et le respect des partenaires. Le mépris se manifeste à partir d'une position de supériorité morale, il est destructeur pour la relation. Quand on dit construire une culture de respect et d'estime des partenaires, on entend la communication quotidienne et l'ensemble de la relation entre partenaires. Ainsi, la gratitude quotidienne, le respect, les éloges, le dévouement forment une perspective positive du partenariat.
La défense
La défensive survient généralement en réponse à la critique. Une attaque ou une critique provoque un besoin de défense, à partir duquel la personne agressée quitte le poste de sa propre responsabilité, devient défensif ou prend la position de victime (une position plus passive mais moralement supérieure qui le déséquilibre avec son partenaire et provoque une distance). Se mettre sur la défensive n'est pas une stratégie réussie, cela conduit le partenaire à réaliser que nous ne nous soucions pas de ses demandes, qu'il n'y a pas de prise de responsabilité. L'antidote à la défensive est de prendre ses responsabilités.
La défensive est définie comme une forme d'autoprotection par un ressentiment vertueux ou un positionnement de la victime afin de repousser une attaque perçue. Beaucoup de gens sont sur la défensive lorsqu'ils sont critiqués, mais le problème est qu'être sur la défensive ne résout jamais le problème. En fait, c'est une façon de blâmer le partenaire, le problème n'est pas moi, mais vous.
De cette façon, nous évitons le vrai chemin vers la solution, qui dit : "Le problème est le problème, pas la personne est le problème", l'effort commun pour une solution d'équipe est nié. Accepter la responsabilité, au moins pour une partie du conflit, contribue à une approche d'équipe du problème. Le risque d'escalade est réduit, le compromis devient beaucoup plus abordable.
Retraite
Le retrait, levant le mur de la communication, se produit avec une sortie silencieuse de la relation, lorsque l'un des partenaires ignore simplement l'autre, reste silencieux, ne répond pas aux questions, s'engage dans une autre activité (regarde le téléphone ou la télévision, quitte l'espace partagé). Le retrait survient après une série d'obstacles intenses, mentionnés précédemment, qui détruisent le partenariat.
La confrontation devient trop importante et la relation est lentement abandonnée. Le retrait devient une sorte de mécanisme de défense utilisé comme protection contre les discussions, et une fois adopté, il est très difficile de sortir de cette zone et il est impossible de s'engager rationnellement dans la discussion.
Apaisement - mettre fin à une dispute
L'antidote à la construction d'un mur est l'auto-apaisement psychologique. Des études montrent que les couples qui ont cessé de se battre après 15 minutes et se sont engagés dans une autre activité pendant la demi-heure suivante étaient physiquement plus calmes et plus prêts à parler, et leur interaction était plus productive et positive.
Pendant cette demi-heure, ils ont réussi à se calmer, et lorsqu'ils ont jugé qu'ils étaient suffisamment calmes, ils ont pu reprendre la conversation rationnellement, dans le respect l'un de l'autre.
Les personnes qui ne peuvent pas s'empêcher d'interrompre une discussion entrent souvent dans une réaction de combat ou de fuite, se repliant sur elles-mêmes ou explosant contre leur partenaire. La pause doit durer au moins 20 minutes, le temps que le corps ait besoin de se calmer. Il est très important que pendant la pause, vous ne consommiez pas des pensées telles que : "Je n'ai plus à supporter ça parce que ça m'attaque toujours" et autres. L'activité a deux tâches : distraire et calmer (lecture, exercice, marche).